RAP

RAP-À-TOILE N° 71 - ( JUIN 2007 )

R.A.P.-A-TOILE a pour vocation de faire connaître les diverses approches de la lutte antipublicitaire sans pour autant adhérer à toutes les opinions et idées d'actions formulées, dont elle laisse la responsabilité à leurs auteurs. Si vous souhaitez vous exprimer dans nos colonnes, vos articles devront nous être soumis avant le 28 juin 2007. Si vous désirez recevoir ce bulletin en version pdf (meilleure lisibilité mais fichier plus lourd), en mentionnant « pdf » dans le titre.

 

Tous les Numéros

Au sommaire de ce soixante onzième envoi

1 - LANCEMENT DE L'OBSERVATOIRE INDÉPENDANT DE LA PUBLICITÉ – par l'atelier publicité & environnement de l'Alliance pour la Planète.
2 - LETTRE AU MAIRE DE PARIS CONCERNANT LE RÈGLEMENT LOCAL DE PUBLICITÉ (RLP) – par le Collectif des associations du groupe de travail du RLP et R.A.P.

3 - LES ANTIPUBS CASSENT LA BARAQUE – par la Bande à Jésus.

4 - LE TRIBUNAL DE ROUEN FAIT L'ACTUALITÉ CONTRE LE SYSTÈME PUBLICITAIRE – par le Collectif des Déboulonneurs.

5 - L'ASSOCIATION AU JOUR LE JOUR


Les prochains rendez-vous de R.A.P. et de la lutte antipublicitaire :

SAMEDI 16 JUIN à 15h – CAEN : déversment de prospectus publicitaires, Place du Théâtre.
SAMEDI 23 JUIN à 14h30 – PARIS : 18e action du Collectif des déboulonneurs. Rendez-vous à la bouche de métro Philppe-Auguste, ligne 2.
SAMEDI 23 JUIN à 15h – MONTAUBAN : présentation en mairie de Montauban de la pétition contre les panneaux grand format 4 m x 3m.


1) LANCEMENT DE L'OBSERVATOIRE INDÉPENDANT DE LA PUBLICITÉ – par l'atelier publicité & environnement de l'Alliance pour la Planète.

L'atelier « Publicité et Environnement » de l'Alliance pour la Planète annonce la création d'un Observatoire Indépendant de la Publicité (OIP).

L'Observatoire Indépendant de la Publicité, composé d'associations écologistes et de personnalités reconnues dans le domaine de l'environnement, se donne pour mission :

- d’assurer une veille sur l'activité publicitaire en France et de fournir une réflexion critique sur la publicité ;
- de lancer des alertes à l'encontre des publicités irresponsables en matière d'environnement ;
- de présenter chaque année un rapport public "Publicité & Environnement » ;
- d’utiliser tout recours contre les publicités non conformes à la réglementation ;
- de décerner des prix aux campagnes publicitaires les plus irresponsables en matière d'environnement ;

Agissant dans un premier temps sur les questions environnementales, l’OIP pourra rapidement s’étendre à tous les aspects du développement durable.

L 'Alliance pour la Planète fait campagne depuis décembre 2006 pour la création d'une autorité administrative indépendante (AAI) afin d'encadrer légalement les messages publicitaires. Elle a interpellé en ce sens les autorités compétentes et les candidats aux élections présidentielles.

La création de l'OIP est soutenue par plus de trente associations membres de l'Alliance* pour la Planète, par la fédération France Nature Environnement et par les professeurs Jacques Testart, Armand Mattelart et Claude Got, par Patrick Viveret, philosophe, Corinne Lepage avocate et Florence Amalou, journaliste.

Le lancement de l'OIP est à bien distinguer de l'étude conjointe du Bureau de vérification de la publicité (BVP) et de l'ADEME, présentée ce 14 juin lors du forum du BVP et visant à évaluer un corpus de publicités sur le thème de l'environnement dans le but de mettre à jour la recommandation « développement durable » du BVP.
Nous rappelons ici que les recommandations du BVP ne sont que des règles de déontologie que se fixent les professionnels de la publicité et qui sont très peu respectées par ces derniers. Le BVP est une association de professionnels de la publicité dont l'un des objectifs est d'empêcher un contrôle réglementaire des messages publicitaires en mettant en avant la prétendue efficacité de l'auto-discipline. Pour ces raisons, les membres de l'atelier « Publicité et Environnement » de l’Alliance ont refusé de participer au forum annuel du BVP. Ce genre d’initiative ne peut en effet masquer le peu de cas qui est fait de la société civile et de ses attentes le reste de l’année.

À l'heure de l'urgence écologique et alors que le dernier rapport d’activité de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a montré que de nombreuses entreprises font état d’allégations environnementales non fondées, l’Alliance pour la Planète rappelle qu’il est impératif qu'une instance indépendante et représentative de la société, regroupant les pouvoirs publics, les associations et les professionnels, puisse contrôler et sanctionner les activités publicitaires irresponsables en matière d'environnement et de développement durable.

*Les 33 associations soutenant cette action :
Action Consommation ; Adéquations ; ADOME ; Agir pour l'Environnement ; Agrisud ; Alliance Terre et environnement ; Amis de la Terre France; APREIS ; Arutam ; Association de Coopération Sociétale ; Blue Initiative ;
CNIID ; Cœur de Forêt ; Collect-IF ; EcoForum ; Ecolo Café ; Ecologie sans frontière ;
Good Planet ; Greenpeace France ; L'Age de Faire ; NégaWatt ; Mains d'œuvre ; MDRGF ; Objectif Bio :
Paroles de Nature ; Réseau Action Climat (RAC) ; Réseau Cheminements ; Résistance à l’agression publicitaire (R.A.P.) ; Syndicat des simples ; Tchendukua ; WWF-France
Hors Alliance : la féfération France Nature Environnement
.


LA PUBLICITÉ ÉCO-INCOMPATBLE DU MOIS


http://www.mitsubishi-motors.fr (juin 2007)

L’Outlander de Mitsubishi émet 180 g de C02 par km. Les constructeurs automobiles implantés en Europe se sont engagés à respecter pour leurs véhicules neufs mis sur le marché un objectif moyen d'émission de 140 g de CO2 par km en 2008/2009. Cet objectif ne sera pas respecté et par voie de conséquence, la Commission européenne va bientôt dresser un cadre juridique fixant à 120g/130g l'objectif chiffré à atteindre d'ici 2012.
Un constructeur automobile qui oriente sa production vers de tels véhicules et en fait une promotion faussement écologique prend assurément la mauvaise direction. Où est le respect pour les accords de Kyoto ? Où est le respect pour la planète ? La maison brûle mais la publicité regarde décidément toujours ailleurs…

 

2) LETTRE AU MAIRE DE PARIS CONCERNANT LE RÈGLEMENT LOCAL DE PUBLICITÉ (RLP) – par le Collectif des associations du groupe de travail du RLP et R.A.P.

Paris, le 14 juin 2007

Monsieur le Maire,


Après deux ans de silence, la ville de Paris a décidé de mener à son terme la révision de son règlement local de publicité. Cette révision doit être pour la mairie de Paris l’occasion de mettre en œuvre une action décisive qui concerne tout à la fois l’environnement et le patrimoine, le cadre de vie des habitants, l’équité entre citoyens et entre quartiers, le rayonnement de la ville et l’image qu’elle donne à ses visiteurs.

La loi de 1995 sur le renforcement de la protection de l’environnement rappelle que « chaque collectivité publique est le garant du patrimoine commun de la nation ». Or l’exceptionnelle richesse de Paris constitue un enjeu non seulement local et national, mais aussi international. Les décisions qui doivent être prises par le groupe de travail et par vous doivent prendre en compte cette dimension particulière.

Les associations présentes au sein du groupe de travail RLP (Plateforme des Comités Parisiens d’habitants et de Participation à la Vie de la Cité représentée par M. Birrenbaum, la Société pour la protection des paysages et de l’Esthétique de la France représentée par M. Hannebert, Sauvegarde et mise en valeur du Paris historique représentée par M Labourel, l’Union départementale Parisienne de la CLCV représentée par M Baylac, Paysages de France représentée par M Delahousse, Résistance à l’agression publicitaire représentée par Mlle Nicolas) souhaitent par ce courrier vous présenter leurs revendications communes dont une partie a été formulée lors de la dernière réunion sur le zonage et devant la presse.

Ces critiques ne remettent pas en cause les avancées de ce futur RLP. Cependant, des améliorations importantes restent à apporter pour que le futur règlement de publicité s’inscrive effectivement dans une démarche de développement durable et réponde aux attentes de la majorité des Parisiens en matière de cadre de vie (voir document ci-joint).

La prochaine réunion, qui pourrait entériner le projet de RLP, sera l’occasion pour les associations de discuter et de proposer de nouvelles règles. Cependant, votre intervention personnelle dans le débat est assurément nécessaire pour que tout ou partie de ces avancées puissent se concrétiser.

Nous vous remercions donc de nous faire part de vos intentions en la matière. Bien évidemment, nous restons également à votre disposition au cas où vous souhaiteriez nous rencontrer.

Confiants dans votre volonté de protéger le cadre de vie des Parisiens contre les agressions de plus en plus nombreuses de la publicité, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Maire, l’expression de notre considération la plus distinguée.

Le collectif des associations du groupe de travail RLP


(1)La généralisation de l'éclairage des panneaux publicitaires et le recours quasi systématique à des dispositifs mobiles propres à capter davantage encore l'attention, ne fait qu'accentuer un phénomène que tous s'accordent aujourd'hui à considérer comme une cause majeure de dégradation du paysage urbain en particulier et donc de la qualité de vie des citoyens. De plus, les panneaux de ce type consomment chacun par année entre 5000 et 9000 kWh, soit la consommation d'une famille de quatre personnes ce qui va à l’encontre des discours officiels de maîtrise de l’énergie,

(2)La publicité lumineuse, dont certains modèles sont considérés comme extrêmement agressifs par les publicitaires eux-mêmes, pourrait devenir un nouveau cheval de Troie de la publicité tout court. En effet, les dispositions envisagées dans le projet en matière de surfaces et de hauteurs s'appliquent exclusivement à la publicité dite non lumineuse. En revanche, aucune limite de hauteur et de surface n'est prévue pour la publicité lumineuse sur bâtiments. En outre, est introduite la notion de publicité lumineuse scellée au sol (sans limites non plus de surface ni de hauteur) bien que cette dernière soit considérée comme incompatible avec les dispositions du code de l'environnement par J.-P. Strebler (enseignant en droit de l'urbanisme, en droit de l'environnement et référence au plan national en matière de droit de l'affichage publicitaire).

(3)Alors que Paris devrait montrer l’exemple en matière de densité d’affichage, les interdistances entre panneaux envisagées dans le RLP sont très en deçà des prescriptions du ministère de l’Écologie (150 m minimum).

(4)Les panneaux publicitaires scellés au sol de grand format sont l’un des principaux vecteurs de la pollution visuelle en matière d'affichage publicitaire telle qu'elle se manifeste notamment aux abords de certaines villes et de certaines zones commerciales. Alors que la mairie devrait donner l’exemple en les bannissant une fois pour toutes, le projet prévoit d’admettre ces derniers dans les ZPR et d’admettre plus de 200 dispositifs de mobilier publicitaire comportant des affiches de grandes dimensions, éclairées et mobiles sur le domaine public.

(5)Le projet de règlement ne fixe pas de nombre maximum de dispositifs de mobilier urbain publicitaire sur le domaine public. Si aucune limite n’est indiquée dans le futur règlement, rien n’empêchera Decaux de signer des avenants ainsi que cela s’est déjà fait notamment à Lyon.

(6)En contradiction avec le plan climat, l’utilisation d’un véhicule pour diffuser de la publicité est légalisée voire favorisée avec le pelliculage alors que cette pratique devrait être interdite à Paris, ne serait-ce qu’en considération de sa richesse patrimoniale.

(7)Alors que de plus en plus d’études prouvent l’effet négatif de la publicité sur les enfants, un rayon de protection de 150 m devrait être institué autour des écoles. Il n’est que de 20 mètres dans le projet actuel

(8)Alors que le régime général interdit la publicité dans certains secteurs, le projet déroge à cette interdiction « dans les zones de protection délimitées autour des monuments historiques classés », « dans les secteurs sauvegardés », « dans les sites inscrits », « à moins de 100 mètres et dans le champ de visibilité des immeubles interdits à la publicité par arrêté municipal en raison de leur caractère historique, esthétique ou pittoresque sur le fondement du II de l’article L. 581-4 du code de l’environnement. » Dans ce cas, la notion de ZPR est totalement dévoyée, puisqu’elle permet de réintroduire la publicité dans des secteurs où elle serait normalement interdite par le régime général et devient alors un vecteur de pollution au lieu d'être un outil de protection contre les agressions visuelles. Il conviendrait donc d'instituer des ZPR comportant des dispositions restreignant réellement l'impact de la publicité et de n'user qu'avec une extrême circonspection du pouvoir ainsi créé d'autoriser l'installation de dispositifs publicitaires dans des secteurs où elle est normalement interdite.

(9)Enfin, un certain nombre de dispositions sont entachées d’illégalité.


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3) LES ANTIPUBS CASSENT LA BARAQUE – par la Bande à Jésus.

La première campagne d'extermination de la publicité à la cognée, à la masse, au pavé, et au feu vient de prendre fin avec les dix panneaux publicitaires détruits en ce jour du Seigneur, le dimanche 10 juin 2007, dans Rouen et son agglomération. Plus de 90 panneaux ont été anéantis durant cette campagne, ces derniers mois. Le dommage pour le publicitaire J.C. Decaux s'élève à plus de 90 000 euros. Le temps est donc venu, mes très chers frères, mes très chères sœurs, au nom de l'anti-consumérisme défendu par Sa Sainteté le Pape, d'en appeler à la fin de la publicité, y compris par la force.



La suite ici : http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=82729


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4) LE TRIBUNAL DE ROUEN FAIT L'ACTUALITÉ CONTRE LE SYSTÈME PUBLICITAIRE – par le Collectif des Déboulonneurs.

Ce 12 mai, le juge a reconnu François Vaillant coupable de dégradations légères commises à plusieurs reprises sur des panneaux publicitaires, mais il ne l’a condamné qu’à une amende symbolique de 1 € !

Pour avoir inscrit à Rouen le 22 juin et 23 décembre 2006, sur des panneaux publicitaires, à visage découvert et en plein jour, en présence chaque fois de plusieurs dizaines de militants antipub, des slogans comme « Nous, vous, des cibles ? » , « Pub = pollution », « Ici bientôt un arbre », « La pub fait dé-penser » (etc.) , François Vaillant, du Collectif des déboulonneurs de Rouen a comparu devant le Tribunal correctionnel de Rouen, le 11 mai 2007. Ce procès a donné lieu à près de trois heures de débats sur les dégâts causés par le système publicitaire : pollution visuelle, surconsommation débridée, surendettement, obésité comme l’a souligné le témoin Claude Got... La nécessité de l’action de désobéissance civile non-violente a été aussi longuement expliquée. Face à l’urgence environnementale et sanitaire, constatant que tous les recours ont été épuisés, et devant les limites de fonctionnement des canaux démocratiques, ce mode d’action est apparu légitime aux militants du Collectif des déboulonneurs pour alerter les pouvoirs publics et leur demander de prendre leur responsabilité.

Devant une salle comble, ce 11 mai, le procureur de la République avait déjà provoqué la surprise en demandant pour le prévenu la dispense de peine.
Le 12 juin, le juge reconnaît François Vaillant coupable de dégradations légères et le condamne à une peine d’amende symbolique de 1 euro.

La désobéissance civile non-violente est ainsi prise en compte en tant qu’outil d’expression démocratique. Le Collectif des déboulonneurs souhaite que ce message soit clairement entendu par les responsables politiques, notamment par le Maire de Rouen qui n’a pas encore renoncé au projet de vélos JCDecaux en échange de 300 mètres carrés de pub supplémentaires. Il y a urgence à changer la loi de 1979 sur l’affichage publicitaire. Les désobéisseurs du Collectif des déboulonneurs sont au service du droit, voulant promouvoir un affichage commercial très limité et non agressif, avec des affiches de 50 x 70 cm maximum.

Jusqu’à maintenant les hommes et femmes politiques sont restés trop longtemps silencieux sur le système publicitaire. La population exprime pourtant très majoritairement un ras-le-bol face à l’envahissement de la publicité dans notre société [1]. Suite aux nombreuses actions et à interpellations des barbouilleurs un peu partout en France [2], des représentants du Collectif ont été reçus, lors de la campagne des présidentielles, par le PS et l’UMP. Ils ont obtenu des réponses écrites des Verts, du PCF, de la LCR, du PRG, et de CAP21. TOUS ont alors exprimé le souhait d’ouvrir un grand débat national relatif à l’invasion publicitaire. Ces déclarations doivent maintenant être suivies par des actes, tant les responsables politiques nationaux et locaux ont l’obligation morale de mettre en place la structure nécessaire à ce débat, notamment lors du Grenelle de l’environnement.
Il convient que le système publicitaire continue à passer un mauvais quart d’heure. Les actions non-violentes du Collectif des déboulonneurs se poursuivent.


5) L'ASSOCIATION AU JOUR LE JOUR

3 mail 07 : participation à la réunion du groupe de travail du Règlement local de publicité de Paris.
31 mai 07 : participation à la réunion du groupe de travail du Règlement local de publicité de Clichy (93).
2 juin 07 : table de presse durant la Folle journée de la surconsommation. A Evry Courcouronnes.
4 juin 07 : Participation de Laure Nicolas à l'émission « Bouge la France » sur Public Sénat sur l'affichage publicitaire.
7 juin 07 : Intervention de J-C. vandevelde sur la publicité, les enfants et l'école à l'IUFM de Lorraine.
8 juin 07 : Rencontre entre associations dont R.A.P. et le responsable développement durable de la SNCF concernant la publicité dans et autour des gares.


INFORMATIONS DIVERSES

Toutes les informations que vous venez de lire sont publiques, nous vous invitons à les transmettre à toute personne susceptible d'être intéressée : faites circuler ! Pour tout renseignement (envoi d'un exemplaire de R.A.P.-Échos, notre publication papier, adhésion, etc.) merci de prendre contact avec :

R.A.P. (Résistance à l'agression publicitaire) 53, rue Jean-Moulin, 94300 Vincennes tél. : 01 43 28 39 21 (tcp. : 01 58 64 02 93) Adhésion : 20 euros Adhésion petit budget : 10 euros Abonnement à R.A.P.-Échos : 7 euros.

Notre permanent assure la permanence téléphonique lundi, mardi et jeudi de 10 h à 13 h (on pourra également nous joindre en dehors de ces horaires, sans certitude de présence toutefois). Réunions mensuelles : calendrier au début de ce message, renseignements supplémentaires au 01 43 28 39 21 ou à contact[at]antipub.org (remplacer [at] par @)

Coordonnées utiles :

- Casseurs de pub 11, place Croix-Pâquet 69001 Lyon Tél. 04 72 00 09 82 - Tcp. 04 77 41 18 16 http://www.casseursdepub.net

- Paysages de France (association qui lutte notamment contre l'affichage publicitaire envahissant) MNEI 5, place Bir-Hakeim, 38000 Grenoble Tél. & tcp. 04 76 03 23 75 http://paysagesdefrance.free.fr

- Le Publiphobe, association concurrente de R.A.P. (diffusion d'une feuille sporadique par abonnement) B.P. 20012, 94211 La Varenne-Saint-Hilaire Cedex; Tél. 01 41 81 69 17; Tcp. 01 42 83 45 01 http://www.indesens.org/publiphobe/le_publiphobe.htm

- R.A.P. Belgique 96, rue Le Lorrain, 1080 Bruxelles; Tél. 02 / 426 91 91; rap(at)antipub.be http://www.antipub.be

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- La Brigade AntiPub; http://www.bap.propagande.org

 

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